Plutôt recommandé pour les adultes et jeunes de plus de 12 ans

« Pauline Viardot – George Sand :

37 ans d’affectueuse amitié »

Découvrez l’amitié indéfectible entre la célèbre cantatrice et l’illustre écrivaine, au cours d’une promenade dans l’étonnant cimetière de Montmartre.

Tarif :

• 15 € par adulte
• Gratuit pour 1 jeune de 12 à 18 ans accompagné d’un adulte
• 7,5 € par jeune supplémentaire

Partez à la recherche de la sépulture de Pauline Viardot avec Bat la sorcière philosophe, notre conteuse passionnée par les femmes du passé.

Bat vous conte l’affection que se portaient ces deux femmes célèbres et vous fait revivre le XIXe siècle musical et littéraire au cours de cette promenade au fil rouge émouvant.

Portrait de George Sand par Alfred de Musset

Quand ils arrivent à Paris le 11 octobre 1839, Sand et Musset viennent de manquer les débuts sensationnels de Pauline Garcia au Théâtre-Italien trois jours plus tôt. “Il y a un enfant qui nous effacera tous : c’est ma sœur qui a dix ans” disait la Malibran qui avait pourtant fasciné George en 1831. Sand est émerveillée par le génie de la jeune fille de 18 ans : « Elle est plus belle comme tragédienne que Mme Rachel et elle chante comme on n’a jamais chanté, pas même sa sœur …“. Pauline, devenue après son mariage, Pauline Viardot, inspire même à George Sand le personnage de Consuelo dans le roman éponyme!

Portrait de Pauline Viardot

« Elle [Pauline] va où l’emportent sa vocation, son dessein, son génie. Mais je ne voudrais pas qu’on me dise que je ne la reverrai plus…. C’est la seule femme depuis Alicia la religieuse que j’ai aimée avec un enthousiasme sans mélange et je crois bien que, dans toute ma vie, elle sera la seule que je puisse et doive chérir et admirer avec raison, avec certitude … C’est un être si complet, si bien organisé, si expansif, si généreux, si tendre et si naïf ! … Il me semble que j’aime Pauline du même amour sacré que j’ai pour mon fils et ma fille, et à cette tendresse indulgente, illimitée, presqu’aveugle, je joins l’enthousiasme qu’inspire le génie » (Sand, Journal intime).